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L’histoire racontée à Quetzalí, fille de 9 ans et des questions plein la tête est celle d’un palais lointain et sans nom, d’un roi qui ne connaît pas son royaume, d’un oiseau libre appelé Rossignol qui malgré son chant extraordinaire sera remplacé dans la cour par un oiseau mécanique.
Le pays entier apprendra par cœur son chant répétitif. Tout le monde dansera la même valse, mais un jour l’oiseau mécanique se casse…
Mercedes Alfonso s’est librement inspiré de Le Rossignol et l’ Empereur d’Andersen et de Les deux Rossignols de José Marti, écrivain cubain. La liberté et
l’authenticité sont ici opposées à l’artificialité, sur fond de dialogues entre
conte et ombres, arpèges de guitare et mélodie à la voix.
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